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 CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. »

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MessageSujet: CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. »   CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. » EmptyVen 30 Nov - 19:57


Callisto Levine

« it’s the end of the world as we know it. »

Ft. Eliza Dushku



[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Intelligente Désordonnée Débrouillarde Abrupte Drôle Rancunière Courageuse



Informations générales

Ω PRÉNOM(S) : Callisto. Mais la plupart des gens me surnomme Cal. , Ω NOM(S) : Levine , Ω AGE : 26 ans , Ω LIEU DE NAISSANCE : Providence, Rhode Island , Ω COTE COEUR : Célibataire , Ω ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle , Ω PARTICULARITÉS : Elle prétend avoir survécu au virus Croatoan par chance et grâce à deux bouquins : Le Guide de survie en territoire zombie & Le Manuel des Castors Juniors. Personne ne sait si c’est vrai. Cependant, elle possède bel et bien les deux volumes. • Elle a de bonnes bases en krav-maga et sait se servir en armes à feu. • Elle est devenue mécanicienne en compilant des bouquins et en tâtonnant. Inutile de dire qu’au début, tout ne fonctionnait pas forcément du premier coup. Ou du second. , Ω SIGNES PARTICULIERS : Elle a des ancêtres amérindiens mais elle n’en fait pas grand cas. , Ω TICS & MANIES : Elle collectionne les bouquins en partie dans l’espoir de trouver une solution pour aider l’Humanité, en partie par maniaquerie pure et simple. • Inutile de lui adresser la parole avant qu’elle ait pris son petit déjeuner, elle ne vous répondra pas. , Ω NATURE : Humain , Ω CAMP REJOINT : Camp St Clair , Ω PARTI PRIS : Celui de l’Humanité, définitivement.


Caractère

Abrupte ♦ Astucieuse ♦ Autoritaire ♦ Chaleureuse ♦ Courageuse ♦ Cultivée ♦ Curieuse ♦ Cynique ♦ Débrouillarde ♦ Désordonnée ♦ Dévouée ♦ Drôle ♦ Dynamique ♦ Emportée ♦ Fiable ♦ Honnête ♦ Imaginative ♦ Impulsive ♦ Intelligente ♦ Loyale ♦ Maniaque ♦ Motivée ♦ Obstinée ♦ Originale ♦ Rancunière ♦ Spontanée ♦ Têtue ♦ Volontaire.
Apocalypse now

Avant d’être cette survivante qui répare les engins tombés en panne de son camp, j’étais une libraire tout ce qu’il y a de plus normale. J’avais un boulot, des horaires, des clients, des activités, des papiers à remplir. La vie de n’importe qui. Aujourd’hui, j’ai juste la chance d’être une survivante. Pour autant, je ne suis pas complètement dépressive. Oui j’ai compris que nous étions en train de vivre un Apocalypse, oui, j’ai saisi que les anges, cette bande d’emplumés sans tripes, se sont enfuis sans demander leur reste. Mais pour autant je considère que les choses ne sont pas sans espoir. Si on creuse suffisamment loin, si on se montre plus ingénieux que cette bande de monstres désincarnés, j’ai l’espoir qu’on puisse stopper toute cette folie surnaturelle et récupérer notre planète. La foi en Dieu n’a jamais été mon fort et je serais plus que ravie de mettre un beau foutoir dans les glorieux plans de ce vieux barbon et de ces premiers nés caractériels…

Je vis un peu au jour le jour quand on m’apporte des choses. Je bricole, j’accumule, je fouille les poubelles de cet ancien monde auquel nous appartenions tous dans l’espoir de découvrir quelque chose qui nous serait utile pour survivre. Je rassemble des ouvrages aussi. Appelez ça de la maniaquerie mais je me dis que quelqu’un, peut-être, pourra s’en servir pour trouver une solution qui nous permettra de nous protéger des infectés ou des démons. Ou de mettre une bonne raclée à Lucifer.

Ma vie a changé. De manière irrémédiable. Aujourd’hui, je ne tiens plus de boutique dans un quartier agréable de Providence mais je vis avec le strict minimum dans ce que n’importe qui aurait qualifié de bidonville il y a deux ans. J’ai parfois des moments de déprime mais dans l’ensemble, je sais que je m’en sors bien. Au moins je ne suis pas l’une de ces créatures baveuses qui hantent les rues de Détroit.


Once upon a time

Comment en était-on arrivés là ? La question se posait parfois au réveil alors que je contemplais ce qui était à présent mon foyer. Je soupirais en sortant de mon duvet. Au moins avais-je réussi à m’assurer quatre murs et un toit en devenant l’une des mécaniciennes du camp et en logeant de manière complètement opportuniste dans le véhicule que j’étais en train de retaper. Il était loin le temps où je lisais du Lovecraft en sirotant un thé dans ma librairie de Providence. Aujourd’hui, même l’auteur aurait été lassé des horreurs que nous devons affronter tous les jours que Di… auxquels nous survivons. Déjeuner… Après un déjeuner, les choses iraient mieux. Si c’était un bon jour, je pourrais réparer deux voitures. Si c’était un très bon jour, peut-être irais-je jusqu’à me risquer à faire une expédition dans la casse la plus proche pour récupérer deux-trois pièces détachées. Mais d’abord le petit déjeuner… Je zigzaguais entre les autres survivants, le visage dissimulé derrière un rideau de cheveux, une expression des plus maussades sur le visage. Consigne pour le monde. Ne me parlez pas. Je me réveille relativement vite du moment que j’ai avalé quelque chose de chaud. Mais avant hors de question de me faire subir le moindre bruit qui ne soit pas celui de la bouilloire ou de la cafetière bidouillée par mes soins. Et surtout pas le son d’une voix. Bien sûr, vous pouvez m’adresser la parole mais rien ne vous garantit que je vous écoute. A vrai dire le monde pourrait bien s’écrouler, si je n’ai pas pris mon petit déjeuner, je ne m’en apercevrais même pas si je viens de sortir du lit. Je me trainais donc jusqu’à un feu de camp sur lequel frémissait de l’eau avant d’extraire de ma poche le sachet de thé que je sauvais de jour en jour tout en cauchemardant sur l’inévitable moment où nous tomberions en rupture de stock. Lorsque le liquide enfin descendit au fond de mon gosier, les deux dernières années me revinrent comme une grande claque.

J’avais été une libraire. J’avais eu des parents, des amis à une période qui me semblait maintenant relever de la préhistoire. J’étais née et avait été élevée à Providence, ville du grand H.P. Lovecraft dont j’étais devenue une adepte inconditionnelle dès que j’avais eu l’occasion de le découvrir. Le surnaturel pendant mes 24 premières années s’était résumé à plusieurs rayonnages d’ouvrages divers que j’affectionnais particulièrement puisqu’il m’offrait la possibilité de vivre des aventures palpitantes à peu de frais et sans risquer ma peau. J’avais eu une existence tout ce qu’il y avait de plus normale jusqu’à ce fameux jour de 2012 où j’avais eu la stupidité de faire un détour par Détroit sur le chemin du retour de mes vacances canadiennes, mue par la curiosité devant cette ville qui faisait naufrage et dont on vantait les apparences post-apocalyptiques. Inutile de dire qu’en ce qui concernait ce dernier point j’avais été plus que servie. J’avais pu assister au début des ravages causés par le virus Croatoan et constater l’inutilité de tous les systèmes internes de notre beau pays pour se défendre. En définitive, ma survie n’était due qu’à un petit nombre d’éléments. Les gens en gloussaient dans mon dos et me qualifiaient d’originale lorsque je racontais que les premiers temps, avant de tomber sur le camp St-Clair, j’avais réussi à survivre grâce au Manuel de Survie en territoire zombie et au Manuel des Castors Juniors mais c’était pourtant le cas. Cela dit je concédais volontiers que sans les cours de tir de mon grand-père, fermier et insulaire au caractère bien trempé, m’avait prodigué dès ma plus tendre enfance et sans les bases de krav-maga, sport pris un peu par hasard pour occuper des soirées un peu trop solitaires, les choses eurent probablement été plus compliquées.

L’invasion des infectés donc. Je l’avais vécue en première ligne et j’avais notamment réussi à m’en sortir parce que j’étais suffisamment futée pour savoir quand il fallait se mettre à courir. Je n’avais rien d’une combattante et je le reconnaissais volontiers. J’étais capable de me défendre mais je n’étais pas taillée pour affronter des légions de malades rendus fous par un virus démoniaque. J’avais pris la fuite sans me retourner laissant les autres se débrouiller. Ensuite j’avais rejoint le Camp St-Clair. J’avais pris ma vie en main et j’avais essayé de devenir utile pour la communauté. Je m’étais improvisée mécanicienne parce que cela me semblait la meilleure chose à faire. J’avais glané des informations dans des livres que je récoltais tant bien que mal et j’avais expérimenté. Inutile de dire que mes débuts n’avaient pas été franchement glorieux. Mais j’avais fini par parvenir à un résultat satisfaisant, ou du moins le pensais-je… En deux ans, j’avais trouvé ma place dans ce camp et plus généralement dans ce nouveau monde, pour horrible qu’il soit.
En dehors du petit déjeuner, de ce moment, où je n’étais pas tout à fait réveillée et où les évènements semblaient avoir une certaine distance, j’évitais de penser au passé. Les gens qui le faisaient finissaient tous dépressifs… Voire suicidaires. Geindre sur le fait que j’avais perdu ma famille et tous mes repères ne m’aiderait pas. Pire encore j’avais la possibilité de devenir un boulet pour le groupe, ce que je voulais absolument éviter. Je chassais donc mes souvenirs au loin et me concentrais sur les tâches à accomplir. J’avais des voitures à réparer et une mission approvisionnement à régler. Le carburant finissait invariablement par manquer dans les générateurs comme dans les moteurs et il faudrait trouver rapidement une alternative à l’essence pour tout ce qui avait trait à l’énergie. Je rêvais de tomber sur un ingénieur qui règlerait ce problème mais pour le moment nous en étions réduits à agir comme des charognards en pillant les stations services et en siphonnant les voitures abandonnées sur lesquelles nous tombions. Pour cela, il fallait aller de plus en plus loin, prendre de plus en plus de risques et j’avais horreur de ça. Pour autant, je ne m’y serais jamais soustraite… Il fallait bien qu’un membre de l’équipe mécanique soit là pour chapeauter et organiser la récupération et je pensais avoir fait mes preuves en la matière. De plus, l’escorte n’avait absolument pas l’œil pour détecter le potentiel utile de certaines ordures.

Dans le fond nous n’avions pas à nous plaindre. Certes, nous n’étions pas les mieux lotis ou les mieux équipés. Mais au moins nous disposions d’un environnement propice à nos besoins primordiaux en matière d’eau et de nourriture. Il fallait savoir voir le positif où il se trouvait même si la plupart d’entre nous commençaient à se lasser sérieusement du poisson et aurait vendu leurs compagnons d’infortune pour une tranche de bœuf. Et des frites. Les frites me manquaient sérieusement et je n’avais eu de cesse de suggérer une expédition pour acquérir au moins des semences pour l’agriculture. Des patates si possibles. Si nous obtenions de bons résultats, nous pourrions envisager de développer un début d’agriculture. Et bouffer autre chose que du poisson et des baies. Dans les mauvais jours, je jurais parfois qu’avec ce régime d’ursidé, nous allions mal finir. Je proclamais même parfois qu’il allait un jour nous pousser des poils et que nous finirions tous par hiberner dans les cavernes les plus proches. Certains avaient eu le mauvais goût de répliquer qu’avec une fourrure, au moins, nous serions enfin à l’abri du froid… Pour être parfaitement honnête, j’avais du me retenir d’acquiescer. J’avais beau porter des vêtements chauds et n’être pas particulièrement frileuse, il y avait des matins où je rechignais franchement à sortir de mon duvet. Et j’étais l’une des mieux logées puisque j’emménageais régulièrement dans les véhicules que j’entretenais. Le monde était peut-être tout près de tomber dans le gouffre et pourtant une routine s’était instaurée. Je réparais des véhicules, je participais parfois à des expéditions et je rassemblais avec maniaquerie des bouquins que j’étais souvent incapable de lire dans l’espoir que l’un d’entre eux contienne une solution à tout ce problème d’Apocalypse. En attrapant ma boîte à outils, j’eus la brève impression que Détroit et ses infectés n’étaient qu’un cauchemar qui ne risquait pas de nous atteindre…


Derrière l'écran

Je m'appelle Sylphe (c’est mon pseudo, pas mon prénom mais je préfère garder mon prénom pour moi) et j'ai 23 ans. J'ai connu le forum grâce Pub Rpg Design et je dois dire que je le trouve bien . Ce qui m'a poussé à m'inscrire, c'est le contexte et l’activité et il faudrait améliorer Telle ou telle chose. Je serai présent 5j/7 et j'ai pris Eliza Dushku comme avatar. Voilà, pour finir j'aimerais ajouter que j’espère m’intégrer parmi vous..


Si c'est un inventé →
Code:
[color=indianred]✖[/color] [b]Eliza Dushku [/b] est Callisto Levine
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Humains
Emilia L. Keegan


« Emilia L. Keegan »



« It takes ten times as long to put yourself back together as it does to fall apart »
There’s a reason I said I’d be happy alone. It wasn’t ‘cause I thought I’d be happy alone. It was because I thought if I loved someone and then it fell apart, I might not make it. It’s easier to be alone. Because what if you learn that you need love and then you don’t have it? What if you like it and lean on it? What if you shape your life around it and then it falls apart? Can you even survive that kind of pain? Losing love is like organ damage. It’s like dying. The only difference is death ends. This? It could go on forever.
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⌿ RÉPLIQUES ENVOYÉES : 326
⌿ IN MY HEART : Lentement, mais sûrement, il réapprend à battre pour quelqu'un.

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MessageSujet: Re: CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. »   CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. » EmptyVen 30 Nov - 20:15

Bienvenue chez nous Miss **

Très chouette personnage que tu as là ! I love you Puisque tu as terminé ta fiche (et quelle jolie fiche d'ailleurs CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. » 2889884971 ), je te valide dès à présent ! Mais je vais laisser un peu ta fiche ici que tout le monde vienne te faire des papouilles ** Et merci à toi d'avoir choisi le camp St-Clair ! ♥️


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Bienvenue sur TOD !
« Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. »


Te voilà maintenant validé(e) ! Tu vas pouvoir faire deux ou trois trucs afin de pouvoir jouer dans les meilleures conditions, en voici donc la liste :

► Prends connaissance de l'intrigue en cours : [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
► Fais toi des amis : [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
► Demande un logement [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
► Tu peux demander une mission sur-mesure : [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
► Si tu le peux et si tu le veux, tu peux soutenir TOD : [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
► Et surtout n'oublie pas de venir délirer avec nous sur la ChatBox ! ♥️


Vu ta personnalité et tes compétences, au camp tu seras : Mécanicienne
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MessageSujet: Re: CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. »   CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. » EmptyVen 30 Nov - 20:20

Merci beaucoup Emilia, je suis contente que ma fiche convienne. Je l'ai rédigée il y a un petit moment dans l'espoir de vous rejoindre et ce n'est que maintenant que le semestre s'achève que j'ai le loisir de le faire. Je vais de ce pas m'occuper de mes sujets de gestion.
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« Invité »




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MessageSujet: Re: CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. »   CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. » EmptyVen 30 Nov - 21:43

J'te souhaite la bienvenue sur le forum, et j'espère que tu vas bien t'amuser ainsi que t'intégrer ^^
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Humains à don
Colin Fletcher


« Colin Fletcher »



CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. » Tumblr_lvsnriBswZ1r2kbigo1_500_large
On a probablement tort de penser qu'il peut y avoir une limite à l'horreur que peut éprouver l'esprit humain. Au contraire, il semble qu'à mesure que l'on s'enfonce plus profondément dans les ténèbres de l'épouvante, une espèce d'effet exponentiel entre en jeu.

⌿ RÉPLIQUES ENVOYÉES : 491
⌿ IN MY HEART : du sang, comme tout le monde, et puis... mais nan.

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MessageSujet: Re: CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. »   CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. » EmptyVen 30 Nov - 21:48

Eliza Dushku :gne: C'est tellement rare de la voir jouée ! Je plussoie les compliments d'Emilia, ta fiche est rudement chouette **
Bienvenue parmi nous, j'espère que tu y trouveras ton bonheur I love you en tout cas nous ferons tout pour !
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« Invité »




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MessageSujet: Re: CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. »   CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. » EmptyVen 30 Nov - 22:09

Merci Lulu !

Merci Colin, je suis contente que ma fiche te plaise et je ne doute pas que je vais bien m'amuser.
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Humains
Mouzif


« Mouzif »



⌿ RÉPLIQUES ENVOYÉES : 922

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MessageSujet: Re: CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. »   CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. » EmptySam 1 Déc - 10:06

Bienvenue :han: Enfin une demoiselle pour le Camp St Clair :youhou: Si tu as le moindre soucis n'hésites pas à t'adresser au staff : 3

Je déplace le sujet dans les présentation validée ♥️
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MessageSujet: Re: CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. »   CALLISTO ♦ « it’s the end of the world as we know it. » Empty

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