Sujet: Redan Calloway • Good guy meets evil Dim 20 Mai - 11:49 ❧ Redan Calloway
feat tom hardy
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] † PRENOM(S) : Redan / Kelen † NOM(S) : Calloway † SURNOM(S) : Non renseigné † AGE : 31 ans physique † LIEU DE NAISSANCE : Au fin fond d'un trou dont il faut taire le nom. † SITUATION AMOUREUSE: Célibataire † ORIENTATION SEXUELLE : Le démon trouve son compte dans à peu près tout. L'humain aussi, bien quelque part. † PARTICULARITÉ : Possédé par un démon, c'est pas rien quand même. † SIGNES PARTICULIERS : Il est tatoué un peu partout. Il a cet air patibulaire qu'il n'a jamais voulu inspirer. † TICS, MANIES : Se gratte obsessionnellement le poignet sans raison particulière. Kelen a remarqué cette manie mais par un fait étrange la subit également. † SECRET : C'est un démon, avec tout ce que ça signifie. Mais il aime les humains et la vie humaines, leur failles et leurs vices. Il doute un jour retourné en enfer. Il faut dire qu'au fur et à mesure, il commence à s'attacher à la vie de son hôte, allant jusqu'à mimer sa vie. † NATURE : Démon † CAMP REJOINT : Hell Camp † PARTI PRIS : Neutre, bien qu'il incline vers le mal. « For what it's worth »© Bazzart, Tumblr
Caractère Il est pantouflard. Il n'aime pas danser. Il souris pour un rien. Il est assez câlin. Il est pervers quand Kelen ne respecte pas trop ses engagements. Il est bosseur. Il aimes les humains et dérivés bien plus que les autres créatures pure Hell juice. Il est stable. Il mange bien. Il a quelques manies. Il tourne souvent en rond. Il est un peu - beaucoup - obsédé. Il pense que c'est à cause des ses hormones et que sa psyché et son caractère démoniaque n'entre nullement en ligne de compte. Il aime son frère comme un fils, bien qu'il n'ai que 9 de différences.
Apocalypse now Kelen a jubilé lorsque Lucifer a finalement mis la main sur la terre. Il a pu assister à la démonstration des plus bas instincts humains et à découverts chez certains de ses comparses démons des qualité qu'il n'osait leur avoué avant. Cependant, Kelen aime vivre caché. Ces amis le connaisse, et bien qu'il n'ai plus rien à prouver, laisse toujours le "Redan" en lui parler. Peu à peu, il lui arrive à croire être lui, et de voir la vie tout à fait différemment. Il recherche son frère avec une ardeur humaine, et le protège comme la prunelle de ses yeux noirs.
Once upon a time Childhood, Familly and other Stuff Toute histoire commence quelque part. A vrai dire, ce n'est pas véritablement le début de sa vie qui risque de vous captiver, sauf si vous trouver votre compte dans les aventures d'un petit môme élevé par sa mère, passablement dépressive quand les nuits d'hiver arrivent. C'est juste la vie d'un gamin qui a dû apprendre à devenir un homme un peu trop tôt sans profiter des expériences qui font de vous véritablement un adulte à point. Comme tous les autres, il faisait des bêtises et il se faisait gronder par la voix tremblotante et emplie d'inquiétude de sa maman qui – sans véritablement le vouloir – le faisait culpabiliser de n'être qu'un enfant. S'en suivit d'autres écarts de conduites et sa mère fut dépassée. Pourtant elle était venue lorsque l'école avait appelé en l'avertissant que Redan avait frappé l'un de ses camarades puisqu'il l'avait traité de « bâtard ». Elle avait été là aussi quand le vigile avait appelé en la faisant passer pour la mère d'un voleur. Le pire avait été cette fois où ses voisins ont appelé la police et qu'elle n'en fut informé que le jour suivant lorsque son fils rentra. Elle se rendu alors compte de son impuissance, et si elle avait été une femme qui pleurait, elle aurait pleuré ce jour là. Mais elle n'était pas de celles qui se satisfaisaient de ce genre de doux soulagement qui l'espace d'un instant et ce même dans la tristesse la plus profonde, vous extirpe d'une réalité trop dure. Elle préférait garder ça pour elle et crever intérieurement. C'était un choix que Redan n'a jamais compris, même des années plus tard. Pourtant elle s'était remariée quand Redan a eu 9 ans. Un homme bien comme il faut, un collègue à elle. Et ils ont même offert à la nouvelle famille une bouche de plus à nourrir. Pour un enfant aussi instable, tout ce changement soudain aurait pu empirer les choses, mais étrangement ce fut le contraire. Avant même qu'il soit né, Redan aimait son frère, et son père de substitution lui apportait les quelques repères dont il avait besoin. Il a même vécu une adolescence que l'on pouvait qualifier d'exceptionnelle. Ce n'était pas vraiment un bon élève, mais de temps à autres, il ramenait quelques notes dont il n'avait pas à rougir dans son sac. Il a fait parti de l'équipe d’athlétisme de son lycée – qui était une véritable institution dans l'établissement. Dites adieux aux quaterbacks à la carrure d'apollon, le critère de hiérarchie déterminant dans cette jungle juvénile était bel et bien la taille de vos mollets. Il était assez bon, et du coup était un peu adulé par les nouveaux arrivants lorsqu'il était senior. Et c'est fou ce qu'il aimait ça. Il aurait vraiment voulu faire ça de sa vie. Courir et tourner en rond, la pluie froide mordant ses épaules nues. Il ne se sentait jamais autant vivant que dans ces conditions. Il était plutôt bien fait comme jeune homme. Sa musculature s'est plus vite développée que celle de ses autres camarades et très tôt il parût plus vieux qu'il n'était. Évidemment, ça attirait les filles et toute cette attention qu'on lui portait n'était pas pour lui déplaire. Il aimait le contact physique, les caresses dans les cheveux et les bisous sur la joue. Sa tendresse naturelle tranchait parfois trop avec l'image qu'on avait de lui et souvent après quelques temps, les filles qui voyaient en lui le « bad boy » qui ferait d'elle des créatures dévergondées qu'elle pensaient être « femme » faisaient demi-tour. C'est un gentil nounours, au fond. Mais il a cette valeur propre aux hommes qu'on appelle faussement fierté. Ce sentiment qui germe à chaque déception et qui pousse à foutre sa vie en l'air. Cette chose qui vous fait hurler à la lune votre tristesse transformée en rage à chaque fois que vous avez accordé votre confiance trop vite. Pour faire court, sa jeunesse a été bercée de désillusions, de courses à pied et de coup de poing dans les arbres.And So On J'ai froid malgré la couette qui me couvre. Je cherche des mains le corps las qui gît près de moi, ondulant au grès de ses respirations. Je m'y agrippe et m'y colle, entortillant mes jambes autour des siennes. J'essaye toujours de tromper le sommeil, gardant les yeux fermés et feintant n'avoir conscience des choses autour. Pourtant j'entendais la respiration un peu rauque de Redan, je sentais l'odeur rassurent que sa sueur dégageait une fois mêlée à son parfum. Je ne l'aimais pas encore mais pourtant je me sentait bien dans cet état. Il y avait cette chose en moi qui germait et me faisait penser à cette perspective avec tendresse. Mais je crois qu'il a quelqu'un. En regardant un peu, j'ai cru voir qu'il parlait avec une fille dont le nom commençait par L. Je ne saurait pas en dire d'avantage. En temps normal, je ne le vois pas tellement fréquenter de fille. Il a plutôt l'air de ce genre de gars dont l'entourage féminin n'est composé que d'épisodiques conquêtes et de noms qui se perdent parmi d'autres, à force des accoquinages de coutumes lors de certaines soirées. Peut-être qu'elle n'est pas d'ici. J'aimerai bien savoir où il a vécu, comprendre les choses qui l'ont fait devenir ce qu'il est. Je pensais que c'était un type droit. Je le pense toujours d'ailleurs, même malgré L. En tous cas, il l'est plus que la major des types que j'ai rencontré ici bas. Enfin, ça ne durera sûrement pas, il ne faut pas rêver. Il est ailleurs, je le sens bien. ... C'était un bon gars, c'est vraiment moche ce qu'il lui est arrivé. Vous me direz que les accidents, ça arrive, mais c'est tout de même un beau gâchis. Il avait de très bonnes performance et surpassait même certains cadors qui pensaient être indétrônables et avoir d'office une place dans l'équipe nationale. Son arrivée les aura bien calmés en tout cas, et ce qu'il lui est arrivé aussi. Il boitera sûrement toute sa vie, et tout ça à cause du surmenage. Pov' gars... ... Il est parti depuis un certain temps. Ils m'a laisser les parents sur le dos. Je lui en veut un peu pour ça. Il a de la chance d'être parti, lui. Il a toujours été le plus chanceux...The One that got Away « Rends moi mes jambes, salopard ! » Reden rampait. Il essayait tant bien que mal de prendre appuie sur ses membres inférieurs, mais avec un succès mitigé. Il frétillait au mieux, lorsqu'à chacune de ses tentatives pour tenir debout, ses genoux s'entrechoquaient et il tombait. Jamais son visage n'avait été aussi trempé. Et pourtant il ne pleuvait pas. « Ce n'était qu'un prêt, tu te souviens ? » Redan avait bientôt atteint les pieds du jeune homme qu'il avait du mal à voir sourire faute à ses yeux voilée par une épaisse pellicule de larme et de sang. « Je t'ai un peu observé cette semaine, et j'ai vu à quel point tu avais une vie plaisante. C'est dire que tu m'a étonné. Le jour où tu m'as appeler – Il y a quoi... 4 ans de cela – et demander des giboles à la limite du bionique, je pensais que c'était pour devenir champion olympique ou le genre de truc où ça te serait utile. » Il se déplaça, tout autour de lui. Son regard se faisait aussi intrusif qu'une lame qui fouillerai ses tripes. Redan se rappelait. Il l'avait vu ce gamin roder près de chez lui, le suivre même une fois. Mais il n'y avait pas accordé une réelle importance. Il s'assit de telle sorte à lui faire face. Une fois ses yeux secs et sa manche un peu plus tachée qu'elle ne l'était, il constata qu'ils n'étaient qu'à un mettre l'un de l'autre. Le démon – car même s'il ne lui avait jamais avoué, il l'avait soupçonné la fois où il lui parla d'enfer et de possession – avait cette fois ci pas plus de 16 ans. « C'était un gamin. Tu es répugnant. » S'il avait été certain que lui cracher à la figure aurait eu un effet quelconque, Redan l'aurait fait. Mais il ravala son dégoût lorsque sont interlocuteur se mis à s'esclaffer, apparemment ravi du compliment. « Il était bien assez vieux, rassure toi. Je ne suis pas totalement sans cœur. Je me suis assuré qu'il avait suffisamment connu la vie. Sinon je n'aurai pas cherché à me l'approprier. Sache que même si tu n'es devenu qu'un simple garagiste, tu m’intéresse toujours. Ce corps est vieux, j'en ai fait le tour et je n'en veux plus. » Le démon se rapprocha soudain de lui, sa bouche était à hauteur de ses oreille et il sentait même à travers la poitrine de l’adolescent son cœur battre. « Je peux te rendre tes jambes si tu me laisses entrer. » Sa bouche s’étala le long de son visage, formant en biais un sourire mesquin. « Je sais que ton frère a besoin de toi. Si tu restes comme ça longtemps, tu va finir pas mourir. Regarde un peu, ton sang coule de partout... » Et c'était vrai. Le rythme cardiaque de Redan s’était grandement affaiblit et sans s'en rendre compte, il dodelinait de la tête comme s'il était assoupi mais pourtant encore éveillé. « Je… ge- » Il avait du mal à prononcer les mots, la seule chose qu'il maintenait était la contraction au niveau de sa mâchoire et quelques grognement quand il respirait. « Tutututu, chut. Je vais t'expliquer ce qu'il va se passer. Je t'aime beaucoup en réalité. Enfin, la vie que tu mènes. Vous les humains m’intéressez beaucoup. Et je déteste n’imposer par la force dans le corps de mes hôtes. Je vais faire quelque chose pour toi. Tu vas mourir de toute manière. Quelque part, c'est à de la bienveillance que je te fais goûter là. Ce ne sont pas tous mes congénères qui sont comme ça. Donc tu vas me laisser entrer en toi et je pourrais disposé de ton corps comme je le souhaiterai. Mais sache que je vais garder tous tes souvenirs, et je saurais exactement qui tu as été, qui tu es et j'aurais même un idée de qui tu seras. Je te saurais même mieux que toi même. Je pourrais feindre être toi. Je pourrais même être toi... Tu piges ? » Le visage de Redan commençait à perdre quelques couleurs. Il hocha cependant doucement de la tête, comme s'il avait compris où le démon voulait en venir. « Bien. Ouvre la bouche alors. Et enchanté, je m'appelle Kelen. » Et la bouche de Redan s'ouvrit.And We Won't be Born again Il faisait froid, semblait-il. Dehors les parkas et autres vêtements d'hiver étaient sorties. Pourtant, Redan ne voyait au loin qu'un soleil ardent, il en suait. Au bord de la piscine gisaient quelques gens. Ils étaient nus comme des vers et pourtant inertes. Les premiers flocons tombaient non-chevalement sur les transats sortis à l'occasion, maculant par la même les parasols de tache humides éparses. Il s'avançait parmi ses convives qui avaient délaissés désormais leurs hôtes de chair dont ils avaient ôté la vie pour d'autres vestiges. Kelen s'avançait, tout aussi nu que les autres, il observait. Il était satisfait de la soirée qu'il avait passé, cela lui rappelait le bon vieux temps, en mieux. Rien était comparable à la jouissance que lui procurait de voir tous ses corps au sang furieusement humain s’entrelasser et s'ébattre. Et c'était l'enfer sur terre qui avait permis ça. A une époque, il aurait redouté l’avènement de Lucifer, et pourtant jamais il n'avait été aussi contenté, malgré la douleur qui tordait ses boyaux. Il tomba à genoux et retins un haut le cœurs. Il ne pouvait faire abstractions des émotions et des pensées de l'humain qu'il possédait. C'était comme si sa promesse avait tenu pour malédiction. Soudain, il montagne de "et si..." s'empilait à la porte de son esprit. Il pensait à ce qu'étaient les personnes qui avaient perdus la vie et dont il s'est - en quelque sorte - physiquement et psychologiquement nourris cette nuit - en compagnie de ses "potes" -. Cette femme là, dont la tête dodelinait de travers, à moitié immergée avait peut-être des enfant, une vie intéressante et des projets, même dans l'apocalypse. L'espoir était le panache des hommes et cette notion le rendait extrêmement mal à l'aise. Irrité, il laissa échapper quelques mots : « Fait pas ta mijaurée Redan, je sais a aimé ça... ». Puis un rire sans âme vint le dérider, faisant vibrer même les quelques taules tombées du toit. Kelen avait renoué avec quelques connaissances d'outre tombe, et à pu avec une joie irritante constater que la hiérarchie tenait toujours autant à coeur à toute cette petite peuplade. Bien que ces affiliations lui apportait bénéfices, il se souvent pourquoi il avait tant voulu quitter l'enfer. La compagnie et l’orgueil de ses congénères l’insuportait. Cependant, il fait avec. Il ne peut faire que ça...
Je suis TOBY
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] Je m'appelle TOBY et j'ai 18 ans. J'ai connu le forum grâce un moyen dont je ne me rappelle plus et je dois dire que je le trouve fameux. Ce qui m'a poussé à m'inscrire, c'est le disign discret, le background qui me plait et il faudrait améliorer les liens des groupes sur le QEEL ne sont pas à jour 8D. Je serai présent [4j/7] et j'ai pris Tom Hardy comme avatar. Voilà, pour finir j'aimerais ajouter que ... bien... rien.
Dernière édition par Redan "Kelen" Calloway le Jeu 24 Mai - 22:46, édité 2 fois
Sujet: Re: Redan Calloway • Good guy meets evil Jeu 24 Mai - 22:49 Reboot satisfaisant ? (Je n'ai pas parlé de "camp" à proprement parler. Je suppose que le "Hell Camp" est un peu particulier vu l'apocalypse =O)
« Mouzif » ⌿ RÉPLIQUES ENVOYÉES : 922
Sujet: Re: Redan Calloway • Good guy meets evil Ven 25 Mai - 7:34 C'est tout bon pour moi ; ) Je te mets dans ton nouveau groupe ; )