| Sujet: Kali ▬ Midnight Shifter Ven 31 Aoû - 14:56 | |
| Kali Cléo' Youngblood « Now this is not the end. It is not even the beginning of the end. But it is, perhaps, the end of the beginning.»Ft. Jessica Parker Kennedy [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Curieuse Casse-cou Astucieuse Orgueilleuse Protectrice Mauvaise joueuse AttachanteInformations générales Ω PRÉNOM(S) : Kali Cléopatre , Ω NOM(S) : Youngblood , Ω AGE : la vingtaine , Ω LIEU DE NAISSANCE : Inconnu , Ω COTE COEUR : Célibataire , Ω ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle , Ω PARTICULARITÉS : Conformément, à sa nature, fait assez amusant, elle est son propre mystère. Elle a tendance à jouer avec les autres, et se vexer facilement si ils renversent ses plans. Elle est capable de bloquer les capacités des créatures avoisinante, dans un rayon d'une centaine de mètres. (Ange et Démon inclut) Mais aussi et surtout bricoler des trucs en tout genres. Fabriquer des pièges et des casses têtes avec seulement un bout de bois et une corde. Kali avait pour habitude de se percher en hauteur, que ce soit sur des branches d'arbres, ou sur les toits des bâtiments. , Ω SIGNES PARTICULIERS : Un tatouage sur la cheville, en forme d'ouroboros, un cicatrice fine sur la nuque. , Ω TICS & MANIES : Porter la main à sa joue quand elle hésite à dire la vérité, se mordiller le pouce quand elle est nerveuse. Poser des questions ou des charades par pure amusement aux gens qu'elle rencontre. , Ω NATURE : Sphinx , Ω CAMP REJOINT : Wood Camp , Ω PARTI PRIS : Neutre pour le moment, par la suite peut-être Bien peut-être Mal qui sait. Caractère
Kali, c'est la fille qui donne de l'énergie à son entourage, par son calme, sa capacité à savoir rassurer les autres, que tout peut s'arranger. Elle peut vous aider à trouver ce que vous cherchez, ou bien ce que vous voulez. A vous aidez même si vous en avez pas besoin, ou à ne pas vous portez assistance si elle considère que c'est la bonne chose à faire. Il peut lui arriver de faire la morale, ou de montrer sa désapprobation assez souvent, ou garder le silence. Pleine de contradictions c'est tout de même la bonne copine, tout comme elle est capable de vous fuir absolument. Capable de s'amuser de n'importe quelle situation, comme de garder un calme herculéen, ou de paniquer pour un rien. La seule chose dont on peut être persuader, c'est la jeune femme marche sur les traces de ses semblables et ce de façon... innée disons. La demoiselle est curieuse, ainsi qu'astucieuse. Si elle a un certain talent pour s'attirer des ennuis, elle sait toutefois s'en sortir. Assez casse cou, elle prenait l'habitude plus jeune, de grimper sur des murs, en haut d'arbre (Plus rare avant, beaucoup plus fréquent maintenant), ce qu'elle n'a pas perdu en grandissant. C'est amusant de regarder les gens s'affairer, aussi petits que des fourmis. Petite, elle aimait bien poser des énigmes, parler en charades, ou relever des défis. Comme en donner... mais il y a toujours une contrepartie alors gare à vous. Encore assez jeune, malgré la vingtaine, elle a tendance à se perdre un peu, et à ne pas se rendre compte du danger, qu'elle que soit la situation, sans compter qu'elle est souvent un peu trop sure d'elle. Ainsi, Kali serait capable de poser un défi ou une énigme au plus dangereux des démons sans se rendre compte du danger. Kali adore bricoler des trucs, cela peut aller d'un moniteur, jusqu'à une voiture en passant par un défibrillateur. Elle a une main habile, et c'est naturel chez elle de poser une situation, si bien que rarement ses actes seront irréfléchis. Elle n'est ni foncièrement mauvaise, mais toutefois pas entièrement bénéfique, elle tente juste de tirer son épingle du jeu, voilà tout, et cela même après l'apocalypse. Petit problème quand on est une créature, et raison de plus du genre de Kali c'est que les gens commencent à s’intéresser à vous. Ce n'est pas une grande adepte du "Courage, fuyons", elle n'est toutefois pas particulièrement encline à se jeter dans le conflit, adopté une position neutre, sans toutefois regarder uniquement ses intérêts. L'un de ses défauts ? Sa fierté, qui tombe dans un orgueil certain, ne jamais perdre, voilà son but, perdre à un quelconque défi, est sa plus grande frayeur, même si elle saura faire face à une défaite, elle aura bien envie de partir tout simplement. Curieuse, elle aime bien connaitre de nouvelles choses, ou de nouvelles vict... personnes. Elle est assez aimable, même si elle vous fera tourner autour du pot la première fois. Au camp, elle tente de s'adapter, et donne un sérieux coup de main. Aujourd'hui, en ces temps de troubles, elle est capable de dégotter n'importe quoi, pour peut qu'il y en ai dans les ruines, ou bien dans la nature, si il s'agit de plantes, ou de fruits. Coté goûts, elle adore le sucré mais aussi l'acide, comme le citron. Avant l'apocalypse, elle a travaillé quelques temps dans le restaurant de sa tante (adoptive), et savais d'ailleurs bien faire les gâteaux. Kali est quand même assez craintive, et ne crie pas sur tout les toits ce qu'elle est. Tout d'abord, parce que ça serait difficile à croire, pour les humains, car malgré tout, elle est quand même sensé être une créature de légende. Et aussi, à ce qu'elle sait, que ces semblables ne sont plus très nombreux, et qu'elle est surement l'une des seuls restantes. (Ce qui explique pourquoi ils sont tant convoités sans doute). Cela ne veut pas dire qu'elle n'est pas sociable, voir une véritable pipelette à vrai dire elle est encore jeunes. Elle n'est pas vraiment du genre à obéir, sauf si elle sait que ceci est dans son intérêt. Elle est prête à cacher tout ce qu'elle croit, tout ce qui est sure elle, elle se plait à dire, qu'elle ne sait pas quel camp choisirait telle, mais elle a vu trop de victimes, de gens qu'elle connaissait d'une façon ou d'une autre, et elle est loin de porter le Mal dans son cœur. Vu sa capacité, elle s'est mis à protéger les gens, ce n'est pas sa fonction première, mais elle se plait à dire que c'est de son propre chef, son propre plan. Les choses vont légèrement se compliquer si quelqu'un est au courant de sa nature. Avant que tout ne partent en vrille, quand elle était jeune, elle adorait les bornes d'arcade, les jeux vidéos dans une moindre mesure, et les mots croisés. Des tas de trucs d'une fille de son âge... ou pas. Après, l'adolescence elle se passionnait pour la lecture d'ouvrage traitant de différents sujets. Ce qui est le plus agaçant chez elle ? Cette tendance à parler par énigmes peut être, et à se contredire toutes les deux secondes. Mais que voulez-vous ? C'est de famille ! | Apocalypse now
Kali. Avec aisance, la jeune femme lâche la branche et atterrit souplement sur la terre meuble, petit sac accroché à la ceinture, affichant un air mêlé de nonchalance et d'inquiétude. Un jour, plusieurs jours, un mois, un an. Cela semble être une éternité que le monde s'est effondré. Mais vivre dans la nature ne lui déplait pas, d'une certaine façon c'est agréable, comme si elle retrouvait quelque chose qu'elle avait perdu. Les premiers jours n'ont pas été une sinécure, et elle aurait même pu y passer si ce n'était sans compter l'intervention d'un bon samaritain. Elle tapote rêveusement le tronc de l'arbre. L'apocalypse ? Pas vraiment une partie de plaisir. Certes, il ne lui était pas inconnu, cette vielle histoire de bien, de mal, de celui qui l'emporte à la fin. En aucun cas, sa bataille, du moins ne l'était-t-elle pas, jusqu'à cet événement. Voir un monde auquel on était habitué depuis pas mal d'années, voler en éclats ça peut vous faire un choc. Peut-être que sa nouvelle condition lui plait, ou peut-être pas. Mais ce qui est sure, c'est qu'elle ne compte pas se faire manipuler, et ce pas aucun des camps. De solitaire, elle a décidé d'en rejoindre un. Si elle peut aider, ou être aider, cela lui va. Sa nature ? Elle n'en parle pas et cela lui va, pas besoin de s'attirer des ennuis en plus. Après mure réflexion, elle a décider de rejoindre le Wood Camp, et sert à présent d'éclaireuse, et aussi dégotte tout les objets possibles et imaginables, en se risquant assez prêt de la ville. Il lui arrive aussi de cuisiner des repas, quand elle le désire, d'ailleurs c'est une véritable cuistot, et ses tartes meringuées au citron n'ont pas de pareil, dommage qu'il est rare de trouver de bons ingrédients désormais. (Fait rare, elle connait assez la nature ou les environs, pour dégotter des produits, de dispensaire, aux potagers des petites maisons des alentours.) |
Once upon a time
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] Forêt du Maine. 2005
Attention !
Au cri, elle se projeta à terre, mais quelques secondes beaucoup trop tard, et sentit une fine branche la giflé. Allongé face contre terre, elle laissa échapper une plainte puis se retourna, jetant un regard au fautif, un chêne pourvu de branches un peu trop basse. La raison de cet écart ? Elle se releva, essuyant la boue sur le tissu rêche de son jean, et baissa la tête. L'exercice était terminé. Le jeune fille, farfouilla quelques secondes dans la poche de sa veste, un vieux truc dégotté dans un grenier, et en tira un élastique d'un rose décoloré, à peine le temps de se plaindre de la couleur de la chose, et elle noua ses cheveux. Plus pratique, souffla-t-elle. Elle se baissa et ramassa la lourde masse de fer, froide au toucher, lourde d’apparences, mais légère pour la demoiselle, qui avait passer ces deux derniers mois à porter sacs, armes, munitions. Elle passa la lanière sur son épaule, et glissa une mèche derrière son oreille. On est partit, dit-il. Elle jeta un regard à l'homme et acquiesça, puis baissa un regard penaud vers le sol, recouvert d'un tapis de feuilles encore fraîches, l'automne venait à peine de pointer le bout de son nez, virant à grand coup de pompes l'été froid que le Maine avait pu offrir à ses habitants. Des arbres s'étendaient à perte de vue et pour rejoindre les habitations il fallait au moins une bonne demi heure, un peu plus en plein hiver si la neige recouvrait les lieux. (Il fallait bien se repérer et la chose n'était pas aisé.) La jeune femme jeta un coup d’œil à son père, et à la femme silencieuse qui l'accompagnait. Elle s'étira, ses doigts endoloris par le froid qui commençait peu à peu à envahir le nord de l'état. Cela faisait pratiquement tout l'été que la petite communauté s'entrainait jour comme nuit, à toutes les éventualités possibles, choses ironiques, cette entrainement ne serait jamais aussi utile que cela à la jeune fille avant des années. Une petite silhouette s'avança à leur rencontre, reconnaissant les cheveux en pagaille et l'habituel démarche de l'inconnu, elle trottina afin d'aller à son encontre, quand ils reconnurent l'identité de l'individu.
Les choses n'étaient pas toujours aller pour le mieux pour la petite communauté. Un ensemble de fuyard, plus une famille qu'autre chose qui regroupaient moins de dix membres, de tout âges. Des vieilles connaissances de son père, des gens dont la véritable nature, qu'ils dissimulaient soigneusement à tout contact extérieurs, étaient digne de figurer dans les livres et histoires. Certains d'entre eux avaient eu à subir des pertes, d'autres des menaces. Traquer sans relâche ou voulant tout simplement apporter leur aide à certains. Ils ne s’agissait pas d'une association ou autres, et ils se séparaient souvent. Les Youngblood ne faisaient pas exception à la règle, et ce depuis à peine quelques années après la naissance de Kali. Comme un goût acide sur le bout de la langue, la jeune fille s'habitue à cette nouvelle existence depuis quelques années déjà. Elle ouvrit la portière de la voiture, et sourit à son camarade, regardant du coin de l’œil, l'air sévère de la jeune femme. Elle haussa les épaules et s'engouffra dans la voiture.
Rester dans une ville, se faire des amis parmi les gamins de son âge puis devoir repartir. Encore, et encore. C'est à chaque fois la même chose, elle regarde passer les villes se demandant quelle sera leur nouvelle arrêt, munie d'un sac en toile, avec le strict minimum. Même avant sa naissance, certains d'entre eux avaient du se faire discret. Kali est née un beau jour d'automne de l'année 1990, dans une petite maison du Maine, avec une particularité qui n'était pas des moindres. Sphinx de par sa mére, comme toutes les femmes de sa familles qui l'ont précédés. Et surement l'un des derniers Sphinx né, toute jeune créature face à ceux ayant des millénaires derrière eux, son père alors une chimère. Pendant ses premières années, elle passa son enfance dans sa petite ville natale, une commune poussiéreuse du sud de l'état. Depuis jeune on lui a strictement dit de ne jamais faire part de ses origines à quiconque. Ne jamais dire un mot de travers, maladroit ou autre, et faire toujours attention. La famille Youngblood a toujours joué la discrétion, préférer la fuite plutôt que risquer autre chose. Vivre en solitaire, sans jamais mentionner la mére de la gamine. Pourtant c'était innée comme par sa nature, Kali a toujours su se faire discrète, futée, c'était une question de survie que de ne jouer avec sa sécurité, bien que quelques mots lui ont parfois échapper. Une vie de fuyard, devant parfois passer de ville, en ville. C'est que quand on possède un tel patrimoine, chaque mot devient dangereux, et la jeune fille avait entendu par plusieurs fois parler de ces créatures qui n'avaient pas été épargné par ce qu'elles étaient. Ils n'eurent jamais de problèmes de victimes à laisser derrière eux, de par leur nature "pacifique" disons. Partant souvent en voyage, le père de Kali laissa souvent sa fille à des connaissances entre ses rencontres avec les autres créatures. Elle eut connaissance de sa véritable nature depuis toute jeune, bien que les premiers symptômes n'apparurent qu'un peu plus tard, vers ses 9 ans, peut être avant, pupilles changeants de couleur, pouvoir devenir mi-lionne mi femme, habituel pour un sphinx. C'est comme cela que Kali finit par atterrir à Détroit des années plus tard.
Table 3 !
2007 - Griffonnant avidement sur un bloc en papier, muni d'un crayon, elle était assise sur un carton de bière, à l’arrière boutique. La scène ? Un petit bar-restaurant, à travers lequel s'affaire une bonne dizaines d'employés depuis l'aube. Des banquettes confortables qui invitent le client à s'asseoir et à commander un des fameux plats qu'offrent l'endroit. Des portes serviettes, et une salière sont soigneusement déposé au centre de la table. Des affiches décolorés ornant les murs de bois, et de larges fenêtres qui laisse entrer une lumière chaleureuse et naturelle. Kali se plie en deux et se relève aussi sec, bondissant de son petit havre de repos, un coin agréable où elle peut écouter le brouhaha sourd, qui lui parvint de la salle. Un peu d'aide, tantine ? Sue. Cette femme est bel et bien sa tante, mais tout le monde la nomme ainsi. C'est un peu la tante de tout le monde, lui dit souvent la dame en souriant. Sœur du père de la demoiselle, elle l'a pris sous son aile des années de cela, peut après la scène de la forêt. La déposant sur le pas de la porte comme un colis encombrant. Allant à l'encontre de ses propres préceptes décidant d'aller courir à travers le pays, menant sa croisade personnel. Elle s'est donc trouvé un jour de pluie, trempée à attendre sans oser frapper au 21 Olive Street, pétrifiée et perdue.
Et la jeune femme apprécie pleinement le fait qu'elle a recueillit, ne lui demandant pas de travailler en échange. Et lui lâche un peu la bride, quand elle désire avoir un peu de repos. Et puis tout marche comme cela n'a jamais marché dans cette bâtisse. Bien entendu, elle tient à aider au bon fonctionnement de l'établissement familial. Elle s'empare d'un tablier qu'elle noue prestement autour de sa taille. Parfois, quand elle en a besoin, ou quand la situation le lui demande. Une certaine stabilité désormais. Kali s'est habitué, et ne guette plus désormais le facteur en quête des quelques cartes postales que peut lui envoyer son père de temps en temps. Mais dorénavant, elle n'a plus à participer à cette mascarade et fait dorénavant partie d'une véritable famille, plus de Tu vient d'où ? Et tu t'appelle comment ? T'as quel âge ? Eh puis, elle n'était pas bavarde la petiote. Elle n'en voyait pas l’intérêt, et c’était beaucoup plus amusant de jouer avec les nerfs de ses... semblables ? Non, car si elle les considèrent comme tel... Maintenant elle est véritablement chez elle.
A la fin de ta longue période de silence ! Les verres s'entrechoquent, elle éclate de rire, et se cache le visage de ses mains. Enfin. Tache ardu, c'était plus que facile de se diriger vers les autres, quand on avait l'impression d'être la pire des bizarreries de Détroit. Elle donna un grand coup de coude à l'orateur, qui lui envoya une grimace mi-capricieuse, mi-joyeuse. Tom. Un des jeunes qui trainait dans le quartier, ou bien dans le bar-restaurant elle n'était plus vraiment sure, mais il avait fait partie de ceux qui l'avait définitivement amener à faire confiance, aux autres. La voilà à Détroit depuis maintenant quelques années, et les choses vont parfaitement bien. Juste un accident de temps en temps, surement cette capacité à bloquer, annuler les capacités, d'humains ou des créatures mais elle se fait discrète. A part l'incident des êtres qui l'ont attaqué étant enfant, rien. Nul danger ne la menace, Détroit est beaucoup plus grande et il plus facile de se perdre parmi les entrepôts et dans cette jungle de béton.
La suite fut la routine comparé à sa jeune existence à fuir, les cours au lycée, entrecoupé de son travail, de l'aide qu'elle apportait à sa tante. Les employés avaient de l'affection pour la jeune fille. Elle se promenait avec sa bande d'amis, comme toute jeune femme de son âge. Le sourire aux lèvres, son père venait parfois aux nouvelles, mais il avait décidé de confier la jeune femme sur le long terme à sa sœur. Elle bouquinait, en apprenait sur les créatures, et sur le monde qui l'entourait, ainsi que sur les siens. Tout allait pour le mieux jusqu'à...
Apocalypse. Elle n'aurait peut être pas du commettre cette erreur. Plus jamais. Elle sent un goût métallique exploser dans sa bouche, et se plie en deux de douleur, et de dégoût. La jeune femme dévisage ostensiblement les traits de ces deux types, souriant, comme si la perspective de la fin du monde et du chaos, les tournaient en une dévotion aveugles, mais vu la puanteur qu'ils exhalent l'idée ne doit pas leur déplaire. Attention. Ces derniers jours étaient la panique à Détroit, et surement que la situation l'a un peu réveillée, comme gifler en plein visage, la sortant de cette torpeur inexplicable, voyant la terreur dans les yeux des mères et de leurs enfants. Elle avait suivi Sue, jusqu'aux urgences, tentant d'apporter un peu d'aide partout où elle passait, ses déplacements se contentait d'être dispensaire, maison, hôpital, tentant d'apporter un peu d'aide là où elle serait utile, puis... plus rien. Elle s'était frayé un chemin dans les rues désertes, fouinant dans la vielle maison à laquelle la jeune femme jeta un ultime coup d’œil, muni de ses maigres possessions, elle quitta la ville. Les habitants de Détroit désormais ? Démons et autres rebuts de l'enfer, se risquer sur leur territoire, c'était risquer sa peau. Pourtant, seule parmi les arbres, elle s'était surement dit que quelques objets pouvaient être dégoter, quelque part.
Tu aurais du faire attention, gamine. La tête lui tournait; Elle jeta un coup d’œil à celui qui lui avait agripper le bras et tirer de la fournaise. Elle ne souffle pas un mot, se contente de regarder le visage crasseux de son... sauveur ? Elle pique du nez, l'orgueil blessé l'étouffe, et lui donne l'envie de prendre ses jambes à son cou. Kali se contente de se redresser, et de ramener les jambes contre son cou, fixant les braises virevoltantes dans le vent. Et ton nom, c'est quoi ? Elle n'a même pas envie de jouer aux devinettes cette fois là, elle croit l'avoir souffler avant de tomber dans le sommeil. Un humain, un chasseur, il avait pris soin d'elle, et elle n'avait pas soufflé mot. C'était rare, croisé quelqu'un en ces temps obscurs qui n'avait pas le désir de la livrer à tel ou tel camp (Si il avait eu connaissance de son genre), depuis la débâcle, elle n'avait pas eu de nouvelles, de quelques personnes de son entourage. Kali l'avait suivi quelques temps, parmi les vagabonds et les solitaires. Ne jamais s'attacher à un quelconque clan. C'est pour cela que son arrivée au Wood Camp, découvert par hasard lors d'une de ses expéditions avait été inespéré. C'est pour cette raison désormais qu'elle réside parmi ses habitants, ne soufflant mot sur son identité par peur et par crainte. Pour elle, ce n'est pas son combat, et trop de fois ses semblables, dans les anciennes guerres furent objet de convoitise, bien entendu elle risque d'être tôt ou tard impliqué dans le conflit qu'elle le veuille ou non. Derrière l'écran
Je m'appelle [Mojo, enfin mon surnom/pseudo bien entendu] et j'ai [18 ans]. J'ai connu le forum grâce [un forum partenaire, j'étais inscrite mais n'avait pas pu terminer ma fiche éè] et je dois dire que je le trouve [fantastique, j'adore le nouveau thème qui est tout simplement splendide]. Ce qui m'a poussé à m'inscrire, c'est [l'univers, malgré le fait que je ne connais Supernatural que de nom, un peu les personnages et l'univers, j'ai tout de suite accrocher, à l'idée des camps, et aux groupes ; ) ] et il faudrait améliorer [rien en particulier, il est bien comme cela]. Je serai présent [...j/7] et j'ai pris [Jessica Parker Kennedy] comme avatar. Voilà, pour finir j'aimerais ajouter que [les admins font un boulot vraiment magnifique <3 ]. Si c'est un inventé → - Code:
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[color=indianred] [/color] [b]JESSICA PARKER-KENNEDY[/b] est [size=10]Kali[/size]
Dernière édition par Kali P. Youngblood le Dim 30 Sep - 20:33, édité 47 fois |
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