| Sujet: Côme Léandre Collins Dim 22 Juil - 13:00 | |
| Côme Léandre Collins « Je vois des gens qui sont morts...mais ça va mieux maintenant.»Ft. Benedict Cumberbatch [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Intelligent Renfermé Mystérieux Impulsif Entêté Peu loquace DiscretInformations générales Ω PRÉNOM(S) : Côme, Léandre , Ω NOM(S) : Collins , Ω AGE : 35 ans , Ω LIEU DE NAISSANCE : MontRéal , Ω COTE COEUR : Célibataire , Ω ORIENTATION SEXUELLE : Homosexuel , Ω PARTICULARITÉS : Voit des fantômes et franchement...c'est pas folichon... , Ω SIGNES PARTICULIERS : Cultive malgré lui un style "saut du lit"...la seule solution imparable pour sa crinière serait la boule à zéro. Mais faut abuser quand même. , Ω TICS & MANIES : Tapote ses doigts sur n'importe quelle surface quand il est exaspéré ou ne sait pas quoi faire. Peu passe des journées à tourner en rond dans son appartement pour résoudre une situation. L'apparition de fantômes le fait toujours sursauter comme s'il s'était brûlé ou qu'on l'avait piqué. , Ω NATURE : Un produit 100%humain , Ω CAMP REJOINT : Wood Camp , Ω PARTI PRIS : Neutre Caractère
On peut affirmer sans hésiter que Côme ne laisse pas indifférent. Un mélange de feu et de glace, une drôle de personnage qui peut afficher un calme olympien et littéralement exploser l'instant d'après. La vie forge le caractère et dans ce domaine, Côme a été grassement servi. Rien n'a vraiment été stable dans son existence. De multiples déménagements durant l'enfance, la seule fois où l'espoir d'enfin enfouir ses racines dans un sol se présente, il perd ses parents. Côme devient sédentaire durant 3 pénibles années d'internement au détriment de son mental. Après l'instabilité professionnelle, il parvient enfin à s'inscrire dans un cursus qui l'intéresse. Sa scolarité tardive trouve un équilibre et voilà que c'est sa vie sentimentale qui bascule. A chaque chose positive, une conséquence négative. Côme est devenu maintenant extrêmement méfiant à l'égard de sa vie, des rencontres qu'il fait, des personnes qu'il côtoie. On ne s'habitue pas à l'abandon systématique, alors, on préfère la solitude. Collins n'est pas de ceux qui font de grandes phrases et de longs discours. Il répond aux question monosyllabiquement. Il donne son avis sans passer par quatre chemins et fait preuve d'une franchise à la limite de l'odieux et de l'irrespect. Aucun tact, aucune diplomatie...à croire que les sentiments humains de fierté, d'orgueil ou d'intimité ne sont que des concepts surréalistes. Depuis toujours, il n'a jamais aimé être au centre de l'attention. Côme fait le plus souvent profil bas, restant à l'écart, préférant observer en silence. Malgré un parcours scolaire erratique et de grosses lacunes, il est loin, très loin d'être idiot. Son détachement vis-à-vis des autres et son introversion naturelle en ont fait qulqu'un de très lucide presque clairvoyant, aux déductions chirurgicales et à la logique presque implaquable. Buté, Côme déteste laisser quelque chose d'irrésolu. Face à l'incompréhensible, il peut passer des heures à marcher de long en large, à faire les cent pas, s'arrêtant parfois pour marmonner quelque chose d'inintelligible ou griffoner quelques mots illisibles sur une feuille de papier. Il retourne le problème dans tous les sens, le tordant dans des directions farfelues, associant des éléments complètement différents pour finalement trouver une solution. Dans ces conditions, il est inutile d'essayer de lui parler. Comme un autiste, Côme se retranche en lui-même se coupant du monde extérieur. Mais on ne peut pas dire qu'il soit quelqu'un qui garde la tête froide. Côme a une autre facette, celle de l'impulsif. Finies alors la logique et les belles déductions...place au Collins de feu qui assène les vérités douloureuses sans penser aux conséquences, qui s'emporte et profère les pires horreurs (avant de les regretter amèrement une fois l'orage passé), qui part sur un coup de tête Dieu seul sait où (et encore, pas sûr que Lui sache où le chercher) Car à être sans cesse discret presque invisible, Côme est souvent le témon involontaire de choses qu'il ne devrait ni avoir vu ni avoir entendu. En général, il reste muet sur ces secrets glanés au hasard mais il sait très bien les user à son avantage. | Apocalypse now
L'Apocalypse...lorsque cette dernière éclata, éclata réellement en envahissant les rues des villes reculées, annihilant tout sur son passage, Côme se dit que certes, il avait espéré que le monde sombre mais pas à ce point-là. Duran les premiers jours, il réagit par instinct comme beaucoup d'êtres humains. Terré, effrayé, accompagné par une poignée d'individus aussi paumés que lui, il avait survécu en intégrant un petit groupe de rescapés. Chacun avait son rôle, oeuvrant pour la communauté, risquant sa vie pour permettre à plusieurs de survivre. Retranchés dans une maison abandonné, la vie y avait été rude et ce n'était pas uniquement du à la présence putride des corps pourrissants ambulants. La promiscuité est quelque chose de difficilement supportable, surtout avec des inconnus dont on ne connait rien. Il faut oeuvrer avec les petites humeurs des uns et des autres, laisser sa parano de côté, essayer de se montrer diplomate...autant dire mission impossible pour Côme et sa franchise légendaire. Collins avait vu des infectés déhiqueter à mains nues des humains, il avait encore dans les oreilles les appels à l'aide de survivants sur le point d'être dévorés et pour lesquels on ne pouvait plus rien, mais rien de tout cela ne fut pire que ce qu'il vécu dans cette communauté. Une boîte de pêche de sirop...voilà ce qui provoquera la destruction du groupe. Une conserve volée dans les stocks. Il n'en fallut pas plus pour mettre le feu aux poudres. Les gens s'entretuèrent à grands renforts de bruit, de détonations ce qui ne manqua pas d'attirer le troupeau de cadavres voisin. Côme ne dut son salut qu'à lui-même. Tel un rat, il quitta le navire avant que ce dernier ne touche, profitant honteusement de la monstrueuse diversion provoquée pour esquver morts et vivants. Après cela, il fit un terrible constat..on devait craindre les autres vivants. On en était là...une époque sans règles, sans lois, où le plus fort écrase le plus faible, où le plus manipulateur asservit les autres. Une sorte de Mad Max bien réel. Terriblement réel. A partir de là, Côme opta pour la solitude pendant une année. Evitant les autres groupes, ne restant jamais bien longtemps au même endroit. Comment a-t-il pu s'en sortir? Il serait bien incapable de l'expliquer. Il est en vie. C'est tout. A l'heure actuelle, Côme retente l'expérience de la communauté espérant tomber sur des gens un peu moins de plafond que les premiers. Il est toujours hanté par la rapidité avec laquelle ses anciens compagnons ont pu se transformer en bête sauvage. L'avenir? Un concept qui le fait doucement sourire...quel avenir peut-on envisager dans un monde ravagé? Il faudrait un putain de miracle pour que les choses retrouvent un cours normal. Et les miracles, ça n'existe pas. Quand au Grand Jeu, cette grande partie d'échecs que des entités surpuissantes en plein délire mégalo ont entamé sur Terre, Côme réfère s'en tenir le plus éloigné possible. Il est un homme libre, avec peut-être un karma moisi, mais libre avant toute chose. |
Once upon a time L'Enfance et ses Chimères...
"Côme, il est tard, tu devrais dormir. Je sais Maman. Mais il me laisse pas dormir. Qui ça, mon poussin. Ben...Antoine.
Deborah s'approche de son fils, assis dans son lit, bien réveillé. Elle soupire. Ca fait des mois que Côme s'est créé ce qu'elle est certaine d'être un ami imaginaire. En fait, Antoine est apparu lorsqu'ils sont arrivés ici. Elle en a discuté de longues heures avec son époux et ils sont tombés d'accord sur cette conclusion: Antoine n'est qu'une projection de la solitude que ressent leur fils. Déménageant régulièrement à cause du statut de militaire de Devon, leur petit garçon s'est inventé un petit camarade pour tromper son ennui. Rien d'étonnant là-dedans. Côme n'arrive pas à se faire d'amis, il sait qu'il devra les abandonner tôt ou tard. Replaçant les mèches folles qui frisottent dans tous les sens sur cette petite tête, elle dépose un baiser sur le front du petit garçon avant de poursuivre d'une voix calme.
Je sais que c'est difficile pour toi. Je sais que tu aimerais bien avoir un ami, Côme. Mais Antoine n'existe pas, c'est ton imagination. Mais non, Maman. Il est juste là. Il faut dormir, mon coeur. Quand à toi, Antoine... Deborah se tourne dans la direction indiquée par son fils. Il n'y a qu'une petite chaise au bout de l'index. Une chaise vide. Fronçant les sourcils, elle prend une voix autoritaire entrant dans le jeu de son enfant en espérant de tout coeur que cela fonctionnera. tu vas partir et laisser Côme faire dodo. Demain, il a école et il va être fatigué. Si vraiment tu es son ami, tu le laisses tranquille.
Un dernier baiser avant de le border et Deborah quitte la chambre de son fils. Difficile de gérer ce petit copain imaginaire mais tant que la famille ne sera pas stable, posée à un endroit, elle va devoir faire avec. Pour Côme, les choses sont différentes. Antoine est réel. C'est le petit garçon qui habitait cette maison avant. Il lui a dit qu'il était très malade, qu'il ne pouvait pas sortir d'ici et qu'il se sentait seul. Antoine connait des tas d'hstoires passionnantes mais parfois, Côme en a un peu peur. Surtout quand il parle de la Mort. Antoine ne veut plus jouer tout seul. Il veut que Côme reste pour toujours avec lui. Serrant son ours en peluche contre lui, le petit garçon jette un dernier oeil sur son visiteur invisible. Il est toujours là, assis sur une chaise, le regard rivé sur lui, muet. Côme ferme les yeux...son imagination, ce n'est que son imagination.
Et le Monde s’effondre...
Côme a 12 ans. Pour la énième fois, il a dû déménagé. Avec les années, chaque déracinement est plus difficile. Ado, on tisse des liens plus profonds avec les gens. Toujours discret et effacé, Côme doit essuyer les railleries de certains de ses camarades de classe. Il n'est pas un bon élève, les déplacements successifs de la famille sont la cause de grosses lacunes dans quasiment toutes les matières demandant des connaissances précises...l'histoire, les maths, les sciences. Il n'y a que les lettres pures et dures où il tire un peu son épingle du jeu. Assis au fond de la classe, Côme essaie de se concentrer sur les paroles du prof mais impossible de comprendre ces schémas, ces équations, ces termes ampoulés et techniques qui lui échappent complètement. Parfois, cette impuissance lui donne envie de hurler. Il a l'impression d'être le dernier des crétins, un gros nul irrécupérable qui ne pourra rien faire de sa vie. La porte de la classe s'ouvre sur le directeur de l'établissement. Une vingtaine de têtes se tournent dans la direction de l'adolescent lorsqu'on lui demande de quitter la salle. Génial...être le centre de l'attention est quelque chose que Côme déteste. Abandonnant ses affaires, il se lève et suit le directeur jusqu'à son bureau. Etrangement, il remarque que le conseiller d'orientation, l'infirmière et le psychologue de l'école sont présents. S'installant sur le siège face à ce dernier, il attend la raison de cette convocation.
Côme...j'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer. Saches que nous ferons tout pour t'aider. Tu n'es pas seul, mon garçon. "mon garçon", l'expression le fait sourire mais à peine une seconde. Tous ces adultes ont l'air si grave, si sérieux. Fronçant les sourcils, Côme parcourt du regard ces mines d'enterrement. Euh...il se passe quoi exactement? Le directeur baisse les yeux, gêné. Personne ne semble prêt à parler. Allez-y...parlez...qu'est-ce-qu'il y a bon sang? C'est l'infirmière qui brisera ce silence lourd et pesant. Elle fait un pas dans sa direction, pliant les genoux pour arriver à sa hauteur. Côme regarde, interdit, la main de cette dernière qui se pose doucement sur son bras. Ce sont tes parents, Côme. Il y a eu un accident. Une panne technique sur leur avion. Ils sont... Côme se dégage brusquement. Se levant d'un bond, comme si la chaise l'avait brûlé, il la repousse violemment. C'est pas vrai...dites-moi que c'est pas vrai. Nous sommes désolés, Côme. Nononononon non! je refuse. L'infirmière le happe dans ses bras. Côme se débat mais le coeur n'y est plus. Il a l'impression que le monde s'écroule sous ses pieds, ses jambes n'ont plus d'os. Il glisse au sol malgré l'étreinte de la jeune femme. C'est à genoux, le visage enfoui dans cette épaule qu'il se met à pleurer. Ses parents son...morts...il entend le psy lui parler de structure d'accueil, d'aide psychologique, le directeur réitérer sa promesse d'aide et de soutien. Mais Côme s'en fout. Il ne lui reste que la douleur, la souffrance, le vide et la solitude.
Une autre brique dans le mur...
Patient numéro 183. Côme Léandre Collins, âgé de 15 ans. Voilà deux mois que Côme est parmi nous. La thérapie se passe très mal. Il refuse de parler à qui que ce soit prétextant qu'on va le bourrer de médicaments. Je diagnostique des troubles bipôlaires chez ce jeune homme. Ce patient alterne des phases de profonde dépression mutique avec des phases d'activité effrénée à la limite de la violence. Je ne pense qu'il soit un danger pour autrui mais bel et bien pour lui-même. Je préconise la contention pour les périodes nocturnes afin d'éviter tout acte de malveillance envers lui. J'attends toujours qu'il me parle de ces apparitions qui inquiètent tant sa famille d'accueil et sont la raison de sa présence ici. Hum...dans le dossier médical que j'ai sous les yeux, je remarque que sa famille a déménagé à de nombreuses reprises. Le patient a fréquenté plus d'une dizaine d'établissements scolaires différents pour des périodes qui n'excèdent jamais deux années. Pas ou très peu d'amis. J'imagine qu'enfant, il a du s'inventer des compagnons imaginaires pour meubler sa solitude. Le choc provoqué par le décès de ses parents a certainement du faire ressurgir cette habitude que l'on ne trouve que chez les enfants. Il n'y a aucun antécédent de schizophrénie ou de démence dans sa famille. Ce sont des hypothèses que j'écarte immédiatement. Je vais donc poursuivre la médiation en espérant amener à la patient à s'ouvrir un peu plus...peut-être utiliser les ateliers d'expression artistique pour voir ce qu'il peeut produire. L'emploi d'un autre support que les mots peut en effet provoquer un déclic qui permettra de l'amener sur la voie de la guérison.
Je le savais...je savais que j'aurais du me taire et ne rien leur dire. Quel imbécile...qui pourrait me croire. Ce sont des cauchemars, Côme. Ca n'existe pas, Côme. Tu as passé l'âge de croire à cela, Côme. Je sais que tes parents te manquent, Côme. Après tout, ils ont peut-être raison. Je suis peut-être totalement cinglé. Fondu. Cramé. Dingue. Bon à enfermer. J'ai tellement envie de revoir mes parents que mon cerveau les fait apparaître. Mais pourquoi je les vois blessés? Ils devraient être en pleine santé, beaux et indemnes.
Assis sur le sol de béton de ce que l'on appelle hypocritement "sa chambre", Côme attend patiemment les infirmiers. Une nouvelle routine s'est installée. Deux infirmiers entrent à 20H30 pétantes pour le sangler sur son lit et lui administrer un tranquillisant. Soit-disant qu'il pourrait se blesser lui-même...à moins que les murs ne se mettent à couper, il n'y a pas de risques. Au début, Côme se débattait. Plus maintenant. Accepter son sort est plus facile que de lutter alors, comme un veau à l'abattoir, il se montre docile, obéissant, ne fait plus de vagues.
Forever Alone?
Très bien...si c'est comme ça, je me casse.
Les mots qu'il avait craché au visage de Daniel résonnaient encore à ses oreilles. Prostré dans son canapé face à un téléviseur qui ne diffuse que de la neige, Côme le regard dans le vide descend consciencieusement une bouteille de rhum à même le goulot. Plus les années passent, plus il a l'impression d'être maudit par le destin. Gamin, il n'a jamais eu de racines. Tout jeune, ses parents lui ont été ravis. Ado, on l'a interné. Jeune adulte, il a galéré des années pour pouvoir s'inscrire à la fac. Quand enfin, il trouve quelqu'un à aimer, ce dernier l'abandonne. A bien y réfléchir, sa vie entière n'est qu'une suite de fiascos et d'amères défaites. Fermant les yeux, Côme renverse la tête en arrière, le regard rivé au plafond de son minuscule appartement. Il a l'impression de sombrer, une fois de plus, et il n'y a toujours personne pour le rattrapper. Même pas un labrador ou un chaton tout doux. Rien. Personne. Avec Daniel, il avait tout fait pour biaiser sa destinée...pourquoi n'aurait-il pas droit, lui aussi, au moins une fois dans sa vie au bonheur stupide et béat? Il avait patienté, fait des concessions, laissé le temps faire son oeuvre. Pour quoi en définitive? Quelques semaines de félicité qui volaient en éclat. Foutu karma. C'était à en espérer de tout coeur que le monde s'effondre.
Aidez-moi...
Comme à chaque fois qu'il y en a un qui débarque, Côme ne peut s'empêcher de faire un brusque sursaut. Les fantômes...s'ils ne sont pas la cause de son malheur alors qui doit-il blâmer? Il a passé sa vie à essayer de les oublier. Il a passé sa vie à les ignorer. C'est pas maintenant que ça va changer. En plus, c'est franchement pas le moment. La colère et la frustration déferlent en lui. Son regard clair se pose sur sa bouteille tombée au sol qui répand son contenu sur le tapis en même temps qu'une odeur d'alcool dans le salon. Rageusement, le jeune homme la ramasse et la jette violemment contre le mur où une silhouette blanchâtre essaie de prendre forme humaine.
Dégages! t'es morte! MORTE! fous-toi ça dans le crâne et fiches-moi la paix.
Il ne peut pas rester ici. Il doit sortir, quitter cet appartement voire quitter cette ville qui lui rappelle trop de choses. Tandis que le spectre nullement inquiété par les tessons jonchant le sol continue à se matérialiser, Côme enfile sa veste, arrache son écharpe du porte-manteau, prend son sac et quitte les lieux. Derrière l'écran
Je m'appelle Wam et j'ai du kilomètre au compteur. J'ai connu le forum grâce PRD, le forum qu'il est trop bien pour faire de la pub ^^ et je dois dire que je le trouve attractif (avec un PV en or massif *-*). Ce qui m'a poussé à m'inscrire, c'est le Pévé et il faudrait améliorer bah rien en fait. Je serai présent 5 à 7/7 et j'ai pris Benedict Cumberbach comme avatar. Voilà, pour finir j'aimerais ajouter que mon chat, c'est le plus mignon du monde. Si c'est un scénario ou un PV → - Code:
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[color=indianred]✖[/color] [b]Benedict Cumberbatch[/b] est [size=10][url=http://time-of-dying.forumgratuit.org/t495-m-cumberbatch-je-t-aime-a-la-haine]Côme Léandre Collins[/url][/size]
Dernière édition par Côme L. Collins le Dim 22 Juil - 18:49, édité 5 fois |
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« Colin Fletcher »
On a probablement tort de penser qu'il peut y avoir une limite à l'horreur que peut éprouver l'esprit humain. Au contraire, il semble qu'à mesure que l'on s'enfonce plus profondément dans les ténèbres de l'épouvante, une espèce d'effet exponentiel entre en jeu. ⌿ RÉPLIQUES ENVOYÉES : 491
⌿ IN MY HEART : du sang, comme tout le monde, et puis... mais nan.
| Sujet: Re: Côme Léandre Collins Dim 22 Juil - 13:17 | |
| J'en connais un qui va être content très très bon choix de scénario ! Vu tout ce que tu as déjà écrit, ta fiche promet d'être excellente ! J'aime beaucoup ta façon d'écrire <3 Tout ça pour te souhaiter la bienvenue ici ! Au moindre besoin, le staff complet est à ta disposition, que ce soit pour une question, une remarque, ou quoi que ce soit d'autre bon courage pour la fin ! [et je réfute, mon chat est plus mignon, d'abord] |
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