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 Liam ✝ Please, don't drive me blind

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Liam ✝ Please, don't drive me blind Empty
MessageSujet: Liam ✝ Please, don't drive me blind   Liam ✝ Please, don't drive me blind EmptyJeu 17 Mai - 12:43



❧ Liam Cailean McCorny

feat James McAvoy


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]



PRENOM(S) : Liam Cailean
NOM(S) : McCorny
SURNOM(S) : "saleté de loup", "Hé toi", "Li", ça dépend des jours et des personnes
AGE : 28 ans
LIEU DE NAISSANCE : Dublin, Irlande
SITUATION AMOUREUSE: en couple avec le marchand de sable
ORIENTATION SEXUELLE : il préfère la sueur d'un homme plutôt que le parfum d'une femme. Ça vous aide ?
PARTICULARITÉ : il s'est fait mordre par un loup il y a de cela trois ans, lors d'un séjour chez ses parents, suite à quoi il est devenu à son tour un loup-garou. S'il a eu du mal à prendre conscience et à accepter sa nature, il a plus ou moins réussir à faire la paix et dominer cette partie de lui-même. Du moins jusqu'à ce que le monde vole en éclats autour de lui. Depuis, il lui arrive d'avoir énormément de mal à se contrôler, notamment dans les moments de faiblesse ou d'hésitation. Dans ces moments là, il tente de fuir le plus loin possible du reste du camp, évitant ainsi de mettre tout le monde en danger tant qu'il le peut.
SIGNES PARTICULIERS : une cicatrice à la lèvre qu'il a conservée d'une précédente bagarre ; son corps est également rué de bleus et de plaies cicatrisés, ce qui fait qu'il le cache, la plupart du temps. Il possède également une tâche de naissance plutôt visible d'une forme presque semblable à un oiseau dans l’aine, que seuls ses parents et ses partenaires ont pu voir.
Il est également contre le port et l'usage d'armes à feu, et refuse d'en avoir une malgré le danger. Il ne sait d'ailleurs pas s'en servir, et à failli se faire exploser le pied la seule fois où il a essayé d'en utiliser une.

TICS, MANIES : il fait souvent craquer ses doigts, encore plus depuis que l'Apocalypse a eu lieu. Il a également fâcheuse tendance à parler tout seul, ce qui fait qu'il est parfois mal vu par ses camarades d'infortune. Même s'il reproche à Alexander de fumer comme un pompier, lui-même s'y est remis, et garde toujours un paquet de clopes sur lui, en cas de coup dur.
SECRET : les nuits de pleine lune, il s'échappe du camp pour éviter de tuer les survivants qui s'y trouvent. A chaque fois que la Bête dévore des possesseurs du virus croatoan, son organisme s'envenime un peu plus ; mais il n'en a pas réellement conscience.
NATURE : (humain, créature, ange, démon...) loup-garou, avec la panoplie de poils qui va avec les nuits de pleine lune et lorsqu'il se laisse submerger par la Bête
CAMP REJOINT : St Clair
PARTI PRIS : le bien, le mal, tout ça c'est encore un peu complexe pour lui. Vu le nombre de gens infectés qu'il mange sans le vouloir, on pourrait le définir comme "bien", mais il se contente d'essayer de survivre plus que de se battre pour l'un des deux camps pour le moment.

« Eyes black, big paws and
Its poison and
Its blood
And big fire, big burn
Into the ashes
And no return
Wooooooooooooo »
© Tumblr, Bazzart et Fever Ray - The Wolf


Caractère
Deux années et une Apocalypse, ça vous change un homme. Ça anéantit tout ce qu'il y a de bon en vous, et ça vous endurcit ; ou alors ça vous détruit définitivement, et fait de vous la pire des loques que le monde ait connu. Liam oscille généralement entre ces deux pôles. La plupart du temps, il tente d'afficher une expression qu'il veut la plus sûre de lui, même si rares sont ceux qui se prennent au jeu. Piètre acteur qu'il est toujours, il ne fait que feindre son espérance qui s'est définitivement brisée. L'éternel optimiste aux sourires intarissables a laissé place à un être qui tente de prouver qu'il peut venir à bout de ses angoisses dans un monde dans lequel il ne se sent pas du tout à sa place. Quelques traits subsistent pourtant de l'homme qu'il était. Attentionné, il continue de prendre soin des gens qu'il aime autant qu'il ne peut, et n'hésite jamais à proposer son aide dans le camp, qu'importe la tâche à réaliser. Stressé, il l'est toujours, aujourd'hui encore plus qu'hier. Il vit chaque jour dans l'espoir et la désolation de voir que qu'importe leurs actes et leurs efforts, les choses ne changent pas.
Des pianos sur lesquels il aimer passer des heures, il n'en conserve que le doux souvenir. De tous les éléments qui constituaient son confort réconfortant, la musique est sans conteste celui qui lui manque le plus. Désormais, il passe ses nuits à fredonner les morceaux qui ont rythmé son enfance, ou à les jouer sur un harmonica qu'il ne quitte jamais. Sa voix s'est d'ailleurs plutôt améliorée avec le temps ; même si personne n'est d'humeur à l'écouter.
Apocalypse now
Bien avant ces problèmes d'Apocalypse, Liam avait du apprendre à gérer un autre aspect bien dérangeant de sa vie ; celui de sa double nature de loup-garou. L'acceptation avait été vraiment difficile à mettre en œuvre pour lui mais, force d'efforts et d'un soutient inébranlable, il avait plus ou moins réussi à s'accepter enfin, et à canaliser la force qui lui rongeait les entrailles (et qui faisait de ses voisins ses casse-croûte). Il avait plus ou moins saisi que les choses n'étaient jamais ce qu'elles semblaient être, et que même les gens que l'on côtoyait au quotidien pouvaient se révéler d'une nature différente. Malheureusement, l'Apocalypse a été une pilule trop dure à avaler pour lui. La maîtrise qu'il avait pu construire sur sa Bête a volé en éclats le jour où tout a basculé. Ce jour-là, il a du attaquer plus de monde qu'il n'en avait fait durant ces trois ans. Voir son quotidien s'écrouler définitivement, c'était comme perdre la tête qu'il avait réussi à maintenir tant bien que mal hors de l'eau. Il a eu énormément de mal à remonter la pente, ayant encore plus besoin de soutient et d'aide que lorsqu'il se pressentait garou. Ses habitudes ont été réduites à néant, de même que ses espoirs de revoir un jour sa famille, qu'il a essayé de contacter des heures durant sans succès. S'il s'est enfermé quelques semaines dans un quasi mutisme autistique, il a plus ou moins réussi à surmonté ses angoisses aujourd'hui et tente d'appréhender les choses du bon côté, si tant est qu'elles en possèdent encore un.


Once upon a time
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8 Janvier 2011


Ça fait un moment que je n'avais rien écrit ici. Peut-être parce que tout va plutôt bien en ce moment. J'ai été engagé comme pianiste pour la compagnie At the Folks il y a quelques jours ; je vais pouvoir me produire sur plusieurs scènes, en Irlande, et à travers l'Angleterre. Jouer à Londres...j'ai un peu de mal à y croire, c'est presque trop beau pour être vrai ! Ahahah ! On vient d'y passer quelques jours avec A. d'ailleurs, c'était super. On a passé notre temps à fureter dans la ville, à visiter tout ce qui méritait d'y jeter un coup d'oeil. J'adore cette ville, l'ambiance dans les rues, les gens.... Bon il y est peut-être pour quelque chose, c'est vrai. Ça faisait des mois qu'on voulait partir quelque part tous les deux, c'est chose faite maintenant : ) Mine de rien, ça va bientôt faire 2 ans et demi qu'on est ensemble... Le temps passe diablement vite !
Si je t'ai retrouvé, c'est parce que je suis en train..enfin j'étais en train de faire mes cartons. Ouais, je vais emménager chez lui. C'est une bonne chose non ? Pour toi, ô journal : ), et pour moi surtout. On s'est beaucoup rapproché au fil du temps, j'ai l'impression que c'est le bon.
Mince on dirait les paroles d'une adolescente avant sa première fois...
Bon, j'entends l’ascenseur. Je crois que c'est lui qui arrive. Je t'en dirai plus sur lui une prochaine fois, je n'ai pas envie qu'il te voie

A très vite, fidèle journal : )

19 Février 2011


J'ai peur... J'ai très peur.
Ça fait quatre heures que je suis enfermé dans la salle de bain. J'ai les mains pleines de sang, et les vêtements déchirés. Je comprends pas ce qui se passe, il s'est sûrement passé quelque chose cette nuit. Je me suis réveillé ce matin comme ça, heureusement qu'il travaille de nuit...
Je comprends pas, crap, j'ai peut être tué quelqu'un ?? Non, c'est pas possible... CRAP CRAP CRAP !
POURQUOI MOI ?! POURQUOI MAINTENANT ?!
Faut que je me calme... Respire... Pffffff
je sais pas quoi faire... je crois que le sang n'est pas à moi, je n'ai aucune plaie visible sur le corps... Je ne vais quand même pas me livrer à la police ? Je ne sais même pas ce que je pourrais leur raconter... Je ne sais même pas ce qui s'est passé...
Il faut que j'enlève ces trucs de moi, je n'en peux plus de sentir ce sang. Je me sens sale...


1 Mars 2011


Aujourd'hui, j'ai trouvé cet article dans le Times. Est-ce que j'ai quelque chose à voir avec cette histoire ?
Le lire m'a coupé l'appétit, je n'ai rien pu avalé aujourd'hui. A. m'a regardé bizarrement quand j'ai laissé mon assiette pleine ce midi. Il se fait du souci pour moi je pense, mais je ne peux rien lui dire. Je n'aime pas lui mentir, mais je n'ai pas le choix.


26 Juin 2011


Ça y est... Je survole enfin l'océan Pacifique. C'est étrange de se dire que tout ce qui va me séparer de lui et de ma famille n'est finalement qu'une bête étendue d'eau. Une bête et immense étendue d'eau.
Ça a été l'une des décisions les plus difficiles à prendre de toute ma courte vie. La disparition de l'avocate, Jeanne Abertone, n'a pas été un cas isolé, presque vingt autres personnes ont rejoint la case des disparus depuis le mois de Février, rien qu'à Londres. Je me suis renseigné aux archives de la ville, il n'y avait pas autant de cas avant mon arrivée. Je suis sûr que c'est en lien avec ce que je suis...devenu.
Je me sens mal d'avoir abandonné A. à Londres. On s'est quitté sur une dispute, je lui ai envoyé un mot qu'il recevra sûrement demain dans sa boîte aux lettres. Je n'ai pas pu écrire grand chose... Impossible de lui dire quoi que ce soit à propos de ces disparitions. Je préfère ne même pas pensé à ce qu'on s'est dit hier... il était persuadé que je le quittais pour aller retrouver un ex aux États-Unis... Crap, j'avais dit "ne pas y penser"...

Ce vol n'en finit pas.
A ma droite, une vieille femme dort en ronflant et en hoquetant. Ça devient presque stressant...

Je suis en train de me dire que j'ai vraiment tout quitté pour aller aux États-Unis. Ma famille, mon travail, lui... La compagnie a bien voulu m'écrire une recommandation, mais le marché a l'air d'être assez différent là-bas. Si je décroche quelques petits contrats, ça me suffit. De toute façon je ne pense pas rester souvent dans la même ville, surtout si "ça" continue...


18 Octobre 2011


Les choses sont de pires en pires... Le rêve américain... Quelle blague. Je n'ai déniché que des contrats minables, je vis de petits boulots. Ça fait deux mois que j'ai atterri à Détroit, à cause d'une annonce miteuse mais correcte vu ce à quoi j'ai eu droit avant. Mais mon passé m'a rattrapé...
Ça fait seulement quatre mois que j'ai quitté Londres, et tout est en train de recommencer. Je n'ai plus aucun doute maintenant, tout vient bel et bien de moi. J'ignore ce que je suis devenu, mais c'est moi qui tue tous ces gens qui disparaissent. Plus les mois passent et plus je ressens une faim bestiale qui me tiraille les entrailles. Je ne mange pas à ma faim, je ne suis rassasié de rien. J'ai l'impression qu'il y a quelque chose d'autre en moi.
Peut-être que tout ça n'est que dans ma tête. Mais je n'imagine pas les lambeaux de chairs que je retrouve collés à moi le matin en me réveillant...


24 Avril 2012


Finalement, la vie n'est pas si mal à Détroit. Je m'avancerai presque à dire que je ne déteste plus cette ville. Enfin tu t'imagines facilement pourquoi. Nous nous sommes remis ensemble. Officiellement je veux dire. Ça me fait un peu bizarre de l'écrire, mais je crois que j'ai bien fait de partir, ce soir là. Ça nous a permis de mieux nous retrouver, et je ne pouvais pas demander mieux. Détroit n'est peut-être pas le cadre le plus romantique du monde, mais je pense qu'on devrait réussir à construire quelque chose ici, au moins le temps de quelques mois. Je devrais peut-être remercier Conor depuis le temps. Ça fait vraiment longtemps qu'on ne s'est pas parl-



D'un geste vaguement énervé, l'irlandais referma le journal, dont les dernières pages avaient été arrachées. Du reste, il n'en demeurait que quelques bribes, qu'il connaissait pour les avoir écrites plusieurs mois auparavant, quand la situation était encore vivable. Malgré toute la volonté du monde, il n'avait jamais pu quitter Détroit. D'abord parce qu'il l'avait redouté, ensuite parce qu'il ne l'avait plus souhaité. Alexander avait réussi à remettre la main sur lui et, contre toute attente, ils avaient fini par réussir à reformer le couple qu'ils avaient constitué pendant ces longs mois en Angleterre. Malgré la découverte atroce de sa nature et de longues journées de remise en question, ils ne s'étaient pas quittés, comme si leur séparation n'avaient au final que contribué à les rapprocher un peu plus. Vint le temps d'un bonheur presque trop court, le genre de bonheur qu'on assortit aisément d'un appartement chaleureux, de soirées passées ensemble et d'un chien, qui au final se révéla être une jeune femme qui partagea leur quotidien ; le genre de bonheur dont il ne s'était pas lassé, jusqu'à ce que le monde parte en vrille.

Un virus. Voilà comment les choses avaient été décrites, un beau soir à la télévision. Un virus. Pas d'inquiétude à avoir, restez chez vous demain, tout ira bien. Tu parles. Rien n'a plus jamais été bien. Moins de quelques heures plus tard, le monde était à feu et à sang. Le virus apparu de nulle part ne cessait de se répandre à vitesse exponentielle, touchant tous ceux qui se dressaient sur son chemin, à tel point que le nombre de victimes ne fut bientôt plus compté. Et puis sonna le début de la fin. Des bâtiments qui explosaient, des rues jonchées de cadavres, et des gens qui se mettaient à agresser les autres, rassemblées en une multitude de hordes avides de sang. Une situation digne des plus grands films apocalyptiques qu'il avait pu voir de toute sa courte vue. Alors, rapidement, les instincts avaient repris le dessus, chez les autres, et encore plus chez lui.
Rassemblant le plus d'affaires qu'ils pouvaient transporter aisément, ils avaient fui, fui la ville pour tenter de trouver un endroit qui aurait échappé à cette malédiction. La route fut rude, longue, et incertaine. Plus d'une fois, ils avaient failli se faire attraper par des personnes "malades" ou plutôt infectées. Après les heures les plus longues de leur vie, ils avaient fini par tomber sur des survivants qui cherchaient eux aussi un endroit où s'abriter. Et alors il vécut le pire qu'il pouvait vivre.

Le stress, la peur, la panique et l'angoisse, la vraie. Pas celle qui nous fait hérisser les poils ou qui nous donne les frissons, non. La vraie, l'indicible, celle qui nous prend jusqu'aux tripes et qui nous empêche de penser, celle qui nous cloue sur place et qui nous montre combien le monde est sans espoir. Il la sentait. Il la sentait grouiller au fond de ses entrailles, pour remonter insidieusement dans ses veines, et emplir jusqu'au moindre petit centimètre carré de son corps. L'angoisse, la détresse...et puis le déclic.
Rares étaient ses transformations hors des nuits de pleine lune. Mais, maintenant qu'il y pensaient, elles s'avéraient bien plus redoutables. Dans des cas comme celui-là, la Bête sortait vannes grandes ouvertes, prête à laisser se déverser autour d'elle toute la rage qu'elle contenait. Et des nombreuses heures qu'elle passa autour de Détroit ce soir-là, il n'en retient aucun souvenir ; seulement la douleur d'avoir trop couru, et la certitude d'avoir fait ce qu'il ne fallait pas.

La vie commença à reprendre un cours presque normal le jour où leur petit groupe s'attela à la création d'un camp d'infortune habitable, installé sur les rives du lac St Clair. Même s'il était loin d'être fortifié, le camp était suffisamment loin pour leur éviter de tomber directement sur des personnes infectées ; du moins pour le moment l'était-il. Ils récupérèrent un cabanon, quelques armes improvisées, et Ayla réapparut dans leur vie ; presque comme avant. Jamais Liam ne pourra expliquer à quel point la présence d'Alex à ses côtés l'empêchait la plupart du temps de sombrer à nouveau. Lui aussi avait changé ; peut-être autant que lui, peut-être un peu moins. Mais le poids de tous ces mois de lutte et de chasse avaient fini par s'inscrire sur son visage, et assombrir les reflets d'acier de ses prunelles. Il avait recommencé à fumer, et encore plus à boire. Lui éviter de tomber dans l'alcoolisme n'était pas encore devenu un combat permanent mais, à leur échelle, il semblait être une raison suffisante pour ne pas laisser son âme sombrer dans le chaos à nouveau.
A cette pensée, l'irlandais sentit son cœur se serrait indiciblement dans sa poitrine. Il ne lui restait plus que lui. Purement et simplement. Il n'avait plus de nouvelles de son frère, de sa famille en Irlande, ni même d'Ilnaja, ou de toutes les autres personnes qui avaient partagé sa vie. Henry, son ami quinquagénaire, fier canaille et habitué du bar ; Craig, cet homme étrange qu'il avait rencontré au Heroes, ; Doug, l'ami policier aux si nombreux problèmes maritaux ; Dean, cet homme avait qui il avait partagé plus qu'un verre... Toutes ces personnes avaient disparu de son quotidien. Étaient-elles en vie ? Avaient-elles succombé elles aussi au virus qui s'était abattu sur la ville ? Les nouvelles étaient rares, et encore plus les lignes de communication qui fonctionnaient encore. Exit les téléphones portables, bonjour les talkie walkie. Dans un soupir, Liam enfonça son journal dans la cachette qui lui était dédiée, après y avoir inscrit, non sans un certain ressentiment, quelques mots qu'il pensait trop souvent pour ne pas les coucher sur papier. Il s'attarda à vérifier qu'il était soigneusement dissimulé du moindre des regards, dont celui d'Alexander qui ne devrait jamais tomber dessus, avant de se relever et de sortir du cabanon pour tenter de se rendre utile dehors.
"Aujourd'hui, c'est le premier jour du reste de ta vie."


Je suis Mkd

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Je m'appelle Mkd et j'ai 12 ans d'âge mental, il paraît. J'ai connu le forum grâce à la force de mon esprit (et à google) et je dois dire que je le trouve rempli de gens extraordinaires. Ce qui m'a poussé à m'inscrire, c'est un tout et il faudrait améliorer pas grand chose. Je serai présent quasiment tous les jours et j'ai pris James McAvoy comme avatar. Voilà, pour finir j'aimerais ajouter que je vous aime.



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MessageSujet: Re: Liam ✝ Please, don't drive me blind   Liam ✝ Please, don't drive me blind EmptyJeu 17 Mai - 19:59

Par pitié me frappe pas : ( :pam: File jouer ♥️ Et mets tout à jour hein ; ) Scénario, fiche tout ça, tout ça.
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Liam ✝ Please, don't drive me blind

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